Chers amis et sympathisants de Croix, 

Le collectif de Croix j’y crois (xjx) vous propose un voyage, d’une journée, à Wissant en France sur la côte d’Opale. Ce voyage en car aura lieu le  samedi                       

                                         26 Mai 2012.

Le collectif a décidé d’offrir le voyage à tous les enfants jusque 14 ans inclus ainsi qu’à toutes les personnes de minimum 65 ans.

 Le prix d’une place, pour les autres, est de 20 euros.

Nous aurons ainsi l’occasion  de vous remercier pour votre participation à nos activités se déroulant tout au long de l’année. Ce sera l’occasion d’une sortie conviviale dans le petit port de pêche de Wissant situé à proximité des caps blanc nez et gris nez. Le paysage y est superbe et l’accueil très convivial.

 Pour le midi, la possibilité vous est offerte de pouvoir prendre un repas(payant) au restaurant « Le Charlemagne » Le resto nous propose comme menu pour les adultes: 1 apéro, 1 entrée, 1 plat (moule ou autre), 1 dessert, 1 boisson pour 25,00 Eur.

Pour les enfants: 1 plat (moule ou autre), 1 dessert (glace), 1 boisson pour 10,00 Eur.

Bien sûr, le resto n'est pas obligatoire et le menu non plus. Celui qui désire 1 plat unique, cela reste possible. Vous êtes bien  entendu libres de prendre votre repas personnel ou encore d’aller en prendre un où bon vous semble.

Les modalités précises de la journée suivront.

 Nous vous demandons de vous inscrire rapidement auprès d’un des membres de notre collectif afin que nous puissions au mieux concocter notre voyage au vu du nombre de participants. Paiement de la place à l’inscription.

                                        Le comité de Croix j’y Croix.

DETHY Philippe            (064/ 67 68 34 ou 0479 459 940 philippedethy@skynet.be MICHOT P-Y          (064/ 77 13 21 ou  0498 088 742  pierreyvesmichot@belgacom.net

PIERRART J-P            (064/ 77 22 38 ou 0494 232 887 superclampin@hotmail.com 

DUSART M-P            (064/ 77 54 21 ou 0479 210 345 mpdusart@swing.be

MOREAU Pascal        ( 0496 680 583                            barney474@msn.com

MARSZALKOWSKI G   ( 0474 270 003                          gregorymarszalkowski@hotmail.com

PENNINCKX D         ( 0477 490 729                            dam8@hotmail.com

Dans le cadre de la journée de l’eau, le service tourisme et culture de l’administration communale a organisé une balade à vélo de trente-cinq kilomètres. Au départ du café “le commerce” à Peissant, les cyclistes devaient parcourir une boucle qui les conduirait au port de plaisance d’Erquelinnes, aux écluses de Solre-sur-Sambre, de Labuissière et de Fontaine Valmont pour ensuite visiter le moulin du bois à Lobbes. Le retour abandonne le chemin de halage au profit du Ravel. Le groupe d’une trentaine de cyclistes était accompagné par les échevines Isabelle Marcq et Aurore Tourneur.

Jeannine nous commente sa journée: “J’ai cinquante-trois ans, j’habite Sambreville mais je travaille à Estinnes. Je connais bien cette région mais j’ai découvert des endroits qui m’étaient inconnus. Je roule régulièrement à vélo. Je voudrais rouler au quotidien mais ce n’est pas toujours possible. Le week-end, je roule entre trente et soixante kilomètres. Ce sont des promenades, découverte du milieu et de la nature. J’acquiers une certaine endurance mais mon but n’est pas l’exploit sportif, c’est la balade. En vacances, mon mari et moi prenons notre vélo. Aujourd’hui, ce fut un beau parcours. La beauté de la région m’a surpris, je croyais la connaître. Les explications du batelier et du meunier étaient intéressantes. Le parcours est relativement plat sauf quand on quitte l’ancienne ligne de chemin de fer. Sur la ligne, ça va mais il y a parfois de longues montées, jamais très pentues. C’est ma première sortie après l’hiver, ce fut un peu long: trente-cinq kilomètres, ce n’est pas n’importe quoi.  J’ai apprécié ma journée, il y avait une bonne ambiance, les gens étaient sympa et disciplinés.”

Les soumonces en musique et costumées se sont déroulées sous un ciel gris et menaçant, il en faut plus pour décourager les valeureux gilles et dames de la Neutrale. Heureusement, le comité de la société a tout prévu en dissimulant des buvettes sur le parcours des gilles. Chaque découverte, comme celle d’un jeu de piste, permettait de se désaltérer et était la bienvenue. « Le village ne compte plus qu’un café et la buvette de la salle de sports. C’est insuffisant pour nous réhydrater. Il faut être prévoyant. » déclare le président Didier Henri. Les gilles de la Neutrale ont choisi de se costumer en aviateur. “C’était le thème de la soumonce mais chacun était libre de revêtir le costume d’officier aviateur.”, déclare le président.

A côté de lui, le signaleur prend la parole: “J’ai cinquante deux ans. Depuis quatre ans, je suis signaleur pour les gilles. On me l’a demandé. Au début, j’étais sceptique, je me posais beaucoup de questions car je ne suis pas originaire de Peissant. De plus, je ne suis pas dans la police, ce n’est pas mon métier. J’habite le village depuis huit ans et la région depuis quinze ans. Peu à peu, j’ai découvert le folklore local. Ça me plait beaucoup. Avant, j’habitais la région de Dinant. Ce n’est pas du tout ce folklore-ci. J’ai plusieurs enfants . Mon gamin Sulivan qui a quinze ans fait le gille cette année. Ça lui plait beaucoup. Ce sera son premier carnaval comme gille.”

Samedi, la société des infatigables et leurs dames ont organisé leurs soumonces en musique. Ce n’est pas le ciel gris et le fin crachin qui tombait par intermittence qui ont empêché les gilles de sortir. Dès dix-sept heures, la société a parcouru les rues en long et en large non sans quelques haltes appréciées à leurs justes valeurs. Ces va-et-vient étaient placés sous l’étroite surveillance de Simon Blairon.

Simon est le frère d’Oscar qui s’illustre en organisant les jogging du challenge du Hainaut, souvent aidé par Simon à l’un ou l’autre carrefour. Simon déclare: “J’ai fait le gille pendant quarante ans dans la société des Infatigables. C’est une très ancienne société, elle souffle plus de cent trente bougies. Aujourd’hui, mon état de santé ne me permet plus de faire le gille, mais je suis toujours très attaché au folklore local et à la vie associative de ma commune. Je me mets à la disposition de tous comme signaleur. C’est une occupation à laquelle je consacre beaucoup de temps. Cela fait maintenant la quinzième année que je suis signaleur.” Simon, torche électrique à la main, retourne à son poste car la société s’apprête à reprendre son périplie.